BREAKBOT

After the Baby I’m Yours EP and a few other similar projects, Breakbot released his debut album in 2012 on Ed Banger. By Your Side, a sun-filled soundtrack with cheeky writing, where the bass line and the guitar answered each other in a rhythmic lovefest.

Together, Breakbot and Irfane have presented By Your Side in all the big cities of the world on a tour that has lasted almost two years. This long meandering finally gave the two friends the idea to create a duo.

In 2016, the new Breakbot version “one plus one” will release a second album, Still Waters, a new assortment of southern sunrays, with swinging images of dancefloors filled with guys in flowing trousers and bare-shouldered young girls.

Unlike the previous album, this one is more of a matrix with intricate workmanship, carved out with the help of old analogue machines rather than softwares. Thirteen bouncy acts with Stevie Wonder and the Motown crowd in the background, spouts of funk and disco on a well-trodden dancefloor.

Crafty ideas whipped-up in a vintage outfit with techno vibes and futuristic accelerations creating a perfectly current soundtrack. Tomorrow’s retro that they will present all around France.ASSIS / DEBOUT (placement libre, place assise non garantie)

Après l’EP Baby I’m Yours, suivi de quelques autres projets affinés du même genre, Breakbot sort un premier album en 2012, signé chez Ed Banger. By Your Side. Une bande-son du soleil tenue par une orchestration à l’écriture malicieuse le long de laquelle les lignes de basse et de guitare viennent se répondre, entre deux effets rythmées, avec une passion presque amoureuse.

Ensemble, Breakbot et Irfane ont présenté By Your Side dans toutes les grandes villes du monde au cours d’une tournée qui aura duré presque deux ans. Cette longue vadrouille a fini par donner aux deux amis des envies de duo.

En 2016, Breakbot version « un plus un » sortira un deuxième album, Still Waters,chez Ed Banger et Because, nouveau panaché des rayons du Sud, couvé par les images swingantes de dancefloors pour danseurs en pantalon évasé et jeunes filles aux épaules dénudées. 

Contrairement à son prédécesseur, ce deuxième album s’affiche comme une matrice à la minutie artisanale, pétrie grâce aux vieilles machines analogues des pionniers plus que par les cases des logiciels. Conclusion en treize actes : voilà plein de petits bonds valseurs aux accents wonderiens, de touches ronronnants des airs motownesques, de jaillissements suant le funk et la disco de pistes patinées.

Des suites et des idées ficelées habilement en un précipité vintage qui, par ses malaxages technoïdes et ses accélérations futuristes, en fond une bande-son parfaitement de son temps. Rétro du lendemain qu’ils défendront donc dans toute la France et à la Cigale.