FACTORY : BUMCELLO – BIRDY NAM NAM

  • ven. 13 oct. 2006

  • 23:07

Évènement terminé

Artiste

Factory : Bumcello – Birdy Nam Nam

Première partie

Organisateur

FIDF -Informations et réservations au 01 58 71 01 01

Mercredi 11 octobre à 19 h
Bojan Z trio (SGB-FR-USA)
Nik Bärtsch’s Ronin (CHE)
dj Req (GBR)

Jeudi 12 octobre à 19 h
TOSCA featuring
Richard Dorfmeister & Rupert Huber (AUT) + guests
Murcof (Mex) meets Francesco “Tristano” Schlimé (ESP)
dj Oof (Fr)

Vendredi 13 octobre à 19 h
Bumcello (FR) meets Birdy Nam Nam (FR)
Sub. Sufi. Soul featuring
State of Bengal, Marque Gilmore, Aref Durvesh, Amar, Jazzhead (IND, GBR, TUR)
dj Missill (FR)

Samedi 14 octobre à 19 h
Matthew Herbert live (GBR)
Joakim live (FR)
dj Loik Dury (FR)

Pour tous ceux qui veulent voir ce qui se passe sur les scènes jazz et des musiques électroniques d’aujourd’hui, la série Factory explore chaque année des territoires nouveaux à l’image de ces musiques qui évoluent sans cesse, se croisent avec des courants improbables, et curieusement vont puiser chez les anciens des filiations musicales. Iconoclastes et respectueux, de jeunes musiciens, formés parfois au classique comme Fernando Corona, la coqueluche barcelonaise, ou Francesco Schlimé, qu’on soupçonnerait avoir les posters d’Arvo Pärt ou de Gorecki dans sa chambre, n’en inventent pas moins des ovnis. Pour d’autres comme le pianiste Nik Bärtsch, c’est John Cage, Steve Reich ou Morton Feldman qui inspirent son « funk zen ». Quant à Joakim, son professeur de piano, avant qu’il ne se grise de notes bleues, était Abdel Raman El Bacha. Ils sont maintenant des acteurs majeurs de la nouvelle vague des musiques électroniques, avec parfois des incursions dans la musique de film, la danse, le design et bien sûr la video, comme le très attendu projet Tosca de Richard Dorfmeister. Autres points forts, la création d’un collectif occasionnel de musiciens indiens et bengali, vedettes de l’Asian Dub londonienne, la découverte du dernier lauréat de l’European Jazz Price, le jeune serbe Bojan Z., et la soirée finale avec le touche-à-tout Matthew Herbert, brillant, ouvert, inventif et facétieux, à l’image de Factory.

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