THE SERVANT

  • mer. 16 mai 2007

  • 00:24

Évènement terminé

Artiste

The Servant

Première partie

Organisateur

ALIAS

HOW TO DESTROY A RELATIONSHIP- Sorti le 02 octobre

Un son fantasque qui pioche à la fois dans la pop et le funk, l’electro et le hip-hop, une musique dans la veine d’un Beck, mais qui aurait fumé des tical avant l’enregistrement.
Et puis il y a cette voix unique, celle de Dan Black. Oui, Dan Black est son vrai nom. Cela ne s’invente pas.
A l’évidence, The Servant, dont le nom est un hommage au film de Joseph Losey, a déjà un énorme potentiel avant même la sortie de leur premier album.

Des mélodies accrocheuses, une production originale, ils possèdent toutes les qualités pour passer de l’underground à « l’overground ».

Depuis, il y a eu deux minis albums (Mathematics / With the invisible), les premiers concerts, les premiers festivals dont les Transmusicales de Rennes. Jean-Daniel Beauvallet des Inrockuptibles parle déjà de «chansons XXL, taillées pour les stades » C’est ainsi que le groupe se fait connaître et installe une solide réputation de bêtes de scène.

Le premier album paraît avec les hits Orchestra ( N°1 de l’airplay diffusé + de 30 000 fois sur les radios françaises! ) et Liquefy ( top 15 de l’airplay).
Le groupe donne plus de 50 concerts dont un Olympia sold out d’anthologie, et obtient son premier disque d’or.

Aujourd’hui paraît « How to Destroy a Relationship » qui révèle l’évolution naturelle de The Servant, pilotée par Jim Lowe (Stereophonics, The Charlatans). Un disque plus direct, plus rock qui ne renie jamais le vrai talent des Londoniens : écrire sans en avoir l’air des chansons et des tubes, alliance parfaite du fond et de la forme.

Le mot de la fin est pour Dan Black…« On a éteint les ordinateurs, on s’est senti libres. Le son brut de nos derniers live est l’essence même de ce nouvel album. Comme en concert, j’ai posé ma voix sur le son lumineux des guitares de Chris, sur les rythmes rugueux de Trevor et sur le grondement ensorceleur de la basse de Matt. J’ai chanté le meilleur et le pire de ma vie décalée.
On s’est insulté, on s’est battu, on s’est découragé, on a transpiré, mais finalement c’est l’album dont nous sommes le plus fier. Sans aucun doute.»

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